Avocats en France, Arméniens encore.
L’AFAJA fait résonner une présence arménienne dans chacun des barreaux où elle est représentée.
A Paris, elle a notamment participé à chacune des journées des associations organisée par l’Ordre des Avocats (lien Diaporama journée des associations 2006 et 2007), invité le Bâtonnier d’Arménie à la rentrée solennelle du Barreau en novembre 2007 (lien Actualité Sahakyan)ainsi que notre confrère Zarouhie Postandjian au congrès annuel du Syndicat des Avocats de France (SAF) (diaporama SAF 2006), organisé à la Maison du Barreau une soirée littéraire en hommage à notre confrère Armen Barseghian à l’occasion de la publication du livre de sa mère, Berdjouhi « Jours de cendre à Istanbul » (lien livre Berdjoui).
L’AFAJA est également intervenue dans plusieurs procédures judiciaires qu’il s’agisse du procès pénal contre Bernard Lewis (lien décision correctionnelle et civile B. Lewis)ou de la demande de libération conditionnelle de Varoujan Garabidjian (décision + article de presse), en passant par l’affaire de l’agression des Arméniens de Valence (article de presse). Ou encore dans le cadre de procédures administratives ou civiles notamment au profit du Fonds arménien de France.
L’AFAJA a rejoint le Conseil de Coordination des Organisations Arméniennes de France (CCAF) en 2003, est devenue membre du Conseil d’administration en 2004 et 2007 puis membre du bureau depuis 2005 où elle assure une fonction de conseiller (lien site du CCAF).
Elle participe notamment à différentes commissions relatives à la restructuration de la Communauté arménienne de France et ouvre les pages de son site aux projets destinés à organiser une représentation démocratique sur la base d’un suffrage universel.
Le premier, connu sous le nom de l’ADRAF, est établi par Gaïdz Minassian (lien projet ADRAF) et soutenu un temps par la FRA. Le second, dont René Dzagoyan est l’auteur (lien projet René) a reçu le soutien de différentes associations.
Le débat est ouvert !